Une reconnaissance arbitraire à l’ATBEF : où sont les critères ?
- Yaovi

- 11 oct.
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Lors de la cérémonie officielle célébrant les 50 ans de l’ATBEF, Madame KOEVI NOELLIE AKOSSIWA, directrice de l’association, a remis des prix à trois employés ayant cumulé plus de 20 ans de service. Pourtant, la majorité des collaborateurs remplissant ce critère ont été ignorés, sans explication ni justification.
Et ce n’est pas une supposition : la liste exacte des employés non reconnus est disponible. Elle comprend des noms de personnes qui ont consacré des décennies à faire grandir l’ATBEF, à incarner ses valeurs, et à servir ses bénéficiaires avec dévouement. Leur exclusion publique, sans transparence, constitue une forme de harcèlement moral institutionnalisé.
Aucune communication n’a été faite sur les critères de sélection. Aucun message de reconnaissance, ni même d’excuse. Ce silence, dans un moment censé célébrer l’histoire et les bâtisseurs de l’association, est une humiliation pour ceux qui ont donné leur vie professionnelle à cette mission.
L’ATBEF, affiliée à l’IPPF, se doit de respecter les principes de méritocratie, équité et dignité humaine. Ce type de traitement va à l’encontre de ces valeurs et appelle à une enquête sérieuse et indépendante sur les pratiques internes de l’association. Si les faits confirment une gestion partiale ou négligente, la démission de Madame KOEVI NOELLIE AKOSSIWA s’imposera comme un acte de responsabilité nécessaire.

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