Denonciation de pratiques non éthiques à lATBEF sous la direction de KOEVI NOELLIE AKOSSIWA

Une Situation Inacceptable

À une époque où l'éthique et la transparence devraient guider toutes les interactions professionnelles, il est alarmant de constater que certaines organisations, telles que l'ATBEF, montrent des signes de dérive. Sous la direction de Mme KOEVI NOELLIE AKOSSIWA, plusieurs abus graves remettent en question non seulement l'intégrité de l'organisation, mais aussi le bien-être de ses employés. Cet article se penche sur ces pratiques contraires à l'éthique : le favoritisme, la falsification des résultats, les licenciements sans fondement, et le mépris pour les employés compétents, et présente des faits concrets pour éclairer ces enjeux.

Favoritisme et Recrutements Arbitraires

Le favoritisme est un problème majeur à l'ATBEF, impactant la qualité et l'intégrité de son processus de recrutement. Par exemple, en 2025, le poste de Responsable de la Clinique mobile de Kara a été attribué à Mme Kondo, bien que Mme Samie, qui avait obtenu les meilleures performances lors des tests, ait été écartée sans explication. Cette situation n'est pas isolée : selon les rapports internes, près de 40 % des nouveaux recrutements au cours des deux dernières années ont été attribués à des candidats sans qualifications adéquates.

Ce favoritisme démoralise les employés dévoués et compromet la qualité des services produits. Ignorer les compétences au profit de relations personnelles crée un environnement de travail où l'excellence est négligée.

Falsification des Résultats

La falsification des résultats des tests de compétences constitue une autre préoccupation significative. Des sources fiables au sein de l'organisation attestent que les résultats sont manipulés pour favoriser certaines personnes et justifier des décisions de recrutement mal avisées. Ce manque de transparence nuit à la motivation des employés qui se battent pour être reconnus pour leurs efforts. Une étude menées auprès des employés a révélé que 85 % d'entre eux se sentent dévalorisés à cause de ces pratiques.

Une telle atmosphère de méfiance engendre un climat défavorable où l'engagement des employés diminue, rendant difficile la réalisation des objectifs stratégiques de l'ATBEF.

Licenciements Abusifs

Les licenciements abusifs représentent un autre aspect néfaste de la culture actuelle à l'ATBEF. Par exemple, Mme Dekou Affefa, une employée dévouée avec un historique de performance exemplaire, a été licenciée sans raison valable.

Des licenciements sans fondement renforcent un environnement de peur et d’incertitude. Les bonnes pratiques devraient s'appuyer sur des critères objectifs et justifiables, assurant ainsi la dignité des employés et la stabilité de l'organisation.

Mépris des Employés Compétents

Le mépris pour les employés compétents est un autre point de frustration chez l'ATBEF. Les agents qui s'investissent pleinement dans leur travail sont souvent ignorés ou marginalisés. Actuellement, il existe un écart significatif entre les employés performants et ceux qui sont promus. En témoignent les plaintes d'employés qui se sentent sous-évalués par la direction.

Reconnaître et valoriser le travail des employés est crucial pour maintenir leur moral et leur motivation. Négliger cette dimension peut avoir des répercussions négatives sur l’ensemble de l’organisation, affectant la qualité des services fournis.

L'Impact sur l'Image de l'ATBEF

En tant que membre de l'International Planned Parenthood Federation (IPPF), l’ATBEF doit promouvoir des valeurs de transparence, d’inclusion et de respect des droits humains. Les comportements observés sous la conduite de Mme KOEVI nuisent non seulement à l’image de l’ATBEF, mais également celle de la fédération.

Il est impératif que les dirigeants reconnaissent les impacts de leurs actions et s'engagent à rectifier le tir. Ignorer ces dérives pourrait entraîner des conséquences durables sur la réputation de l'ATBEF et sur la confiance des partenaires externes.

Appel à un Changement Nécessaire

Les abus de pouvoir tels que le favoritisme, la falsification, les licenciements abusifs et le mépris des employés sont inacceptables. L'ATBEF est en péril, et il est urgent que les voix s'élèvent pour réclamer des changements fondamentaux.

Directrice, sachez que vos actions sont scrutées. La pression monte. Il est essentiel d'agir pour restaurer l'intégrité et l'éthique au sein de l'ATBEF.

Affaire à suivre...