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ATBEF : Deux poids, deux mesures – favoritisme et injustice salariale sous la direction de KOEVI NOELLIE AKOSSIWA

  • Anonyme
  • 15 oct.
  • 2 min de lecture

Lomé, octobre 2025 — Les pratiques de gestion à l’ATBEF continuent de susciter l’indignation. Après les cas d’inégalités salariales entre comptables, un autre scandale au sein du département comptabilité : deux stagiaires, mêmes fonctions, mais des traitements radicalement opposés.


Deux stagiaires, deux réalités : l’injustice institutionnalisée


Le premier stagiaire, en poste depuis plus de deux ans, n’a jamais perçu de rémunération. Malgré son engagement, sa régularité et sa contribution active, il est resté non payé, sans contrat clair, ni reconnaissance officielle.

Le second stagiaire, fraîchement recruté, fils d’un ancien directeur de l’ATBEF, a immédiatement bénéficié d’un salaire mensuel, une pratique inhabituelle pour les stagiaires à l’ATBEF. Ce traitement préférentiel, fondé sur les origines et les relations, illustre une politique de copinage qui mine la crédibilité de l’institution.


Recrutement permanent : l’ironie du favoritisme


Quelques mois plus tard, les deux stagiaires se voient proposer un poste permanent. Mais là encore, l’injustice frappe : le stagiaire le moins expérimenté, bénéficiant de liens familiaux, signe directement un CDI avec un bon salaire, tandis que le stagiaire ayant deux ans d’ancienneté est placé en période d’essai, sans garantie, ni reconnaissance de son parcours.


Une gestion méprisante et destructrice


Ces pratiques ne sont pas des erreurs isolées. Elles reflètent une gestion marquée par le favoritisme, l’opacité et le mépris du mérite. Sous la direction de Madame KOEVI NOELLIE AKOSSIWA, les décisions semblent guidées par les affinités personnelles plutôt que par les compétences ou l’engagement.

Face à ces injustices, une question s’impose : Madame Koevi, maintenant que vos pratiques sont exposées, allez-vous vous en prendre aux employés qui osent parler ? Allez-vous les limoger sans scrupule, comme cela a déjà été observé ?


🛑 L’IPPF et les partenaires doivent réagir


Les regards sont désormais tournés vers vous, Madame KOEVI NOELLIE AKOSSIWA, mais aussi vers l’administration de l’ATBEF, l’IPPF, et ses partenaires internationaux. Allez-vous continuer à fermer les yeux sur ces agissements, qui bafouent les principes de méritocratie, d’équité et de respect des droits humains ?

 
 
 

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