ATBEF : Injustices salariales et favoritisme sous la direction de KOEVI NOELLIE AKOSSIWA
- Anonyme
- 15 oct.
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Depuis son arrivée à la tête de l’Association Togolaise pour le Bien-Être Familial (ATBEF), Madame KOEVI NOELLIE AKOSSIWA, accompagnée de son responsable des ressources humaines, a instauré une politique de recrutement et de rémunération marquée par l’opacité, le favoritisme et l’injustice. Plusieurs cas documentés révèlent une gestion fondée non sur les compétences ou l’ancienneté, mais sur les affinités personnelles.
⚠️ Cas emblématique : deux comptables, deux traitements
Prenons le cas de Monsieur Abalo Innocent, comptable à l’ATBEF depuis 16 ans, titulaire d’un Master, reconnu pour sa rigueur et son engagement. Il perçoit une prime mensuelle de 98 000 FCFA. À poste équivalent, Monsieur Azegue Domefa, arrivé il y a 6 ans, détenteur d’un BTS, bénéficie d’une prime de 380 000 FCFA. La différence est flagrante, injustifiable, et contraire aux principes de méritocratie.
Monsieur Abalo a formulé plusieurs demandes officielles d’ajustement salarial, toutes restées sans suite. Pire encore, selon des témoignages internes, Madame KOEVI NOELLIE AKOSSIWA lui aurait répondu de manière méprisante, l’invitant à “se faire voir”. Ce traitement humiliant, répété, constitue une forme de harcèlement moral et une violation des droits professionnels.
❌ Une politique RH fondée sur le copinage
Ces cas ne sont pas isolés. Ils s’inscrivent dans une politique RH où les recrutements sont faits sans appel à candidatures, les promotions sans critères objectifs, et les salaires selon les affinités personnelles. Cette gestion clanique crée un climat de frustration, de division et de démotivation au sein du personnel.
🛑 Une contradiction flagrante avec les valeurs de l’IPPF
L’ATBEF étant affiliée à l’International Planned Parenthood Federation (IPPF), ces pratiques ternissent l’image de la fédération et contredisent ses engagements en matière de justice sociale, transparence et respect des droits humains. Il est urgent que l’IPPF et l'administration à l'ATBEF intervienne pour exiger une enquête indépendante, réparer les injustices, et réévaluer la légitimité de Madame KOEVI NOELLIE AKOSSIWA à diriger l’association.



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