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ATBEF : Réseau mafieux, détournements et vente de produits périmés – silence complice ou faillite morale ?

  • Anonyme
  • 19 oct.
  • 2 min de lecture

La série de dénonciations visant la direction actuelle de l’ATBEF se poursuit, et cette fois, elle met en lumière une relation particulièrement préoccupante : celle entre Madame Akossiwa Koevi Noellie, directrice de l’ATBEF, et Madame Agbolo Tale Blandine, chargée de l’approvisionnement.

Depuis son arrivée, Madame Koevi Noellie a procédé à plusieurs renvois d’employés pour vol, se présentant comme garante de l’intégrité. Mais ce vernis moral cache une réalité bien plus sombre : elle-même, avec son réseau interne, aurait détourné des fonds, effectué des achats de matériel médical auprès de fournisseurs fictifs, et même utilisé des fournisseurs dont elle serait propriétaire ou associée.


⚠️ Vente de médicaments périmés : un danger public

Le fait le plus grave reste la vente de produits médicaux périmés dans certaines communautés. Ces actes, commis en collaboration avec la chargée d’approvisionnement, sont non seulement criminels, mais mettent en danger la santé des populations vulnérables. Et Madame Koevi Noellie le sait très bien.


Un climat de terreur orchestré par un trio toxique

Le personnel de l’ATBEF veut bien faire. Mais les loups que sont la directrice, son responsable RH Monsieur DODJI DEGBOE, et Madame Agbolo Tale Blandine, étouffent toute initiative. Ils font régner la terreur, répriment le dialogue, et limogent sans raison valable.

Ce n’est pas une série de petits incidents. C’est le fruit d’une tyrannie, où toute tentative de discussion est punie sévèrement. Aujourd’hui, beaucoup d’employés ont déjà perdu leur poste, d’autres vivent dans la peur. L’administration gère l’ATBEF comme une classe de collège, sans rigueur, sans transparence, sans respect.


🔴 Le cas de Madame Dekou Afefa illustre cette brutalité. Employée connue et appréciée, souffrant d’une dépression reconnue, elle a été poussée vers la sortie par des manipulations et injures répétées de la part de la directrice. Ce renvoi arbitraire, dans un contexte de vulnérabilité psychologique, constitue une forme grave de harcèlement moral. Ce cas mérite un focus spécial, et une enquête indépendante sur les méthodes de gestion de Madame Koevi Noellie.


🛑 Appel à l’unité et à l’action

Les employés de l’ATBEF doivent s’unir contre ces agissements. Les décideurs doivent agir maintenant. Un départ clair et immédiat des fauteurs de trouble est indispensable. Les preuves sont là. Demandez à n’importe quel employé : tous auront quelque chose de grave à dire sur la directrice et son réseau.


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